Chaque année, le programme des Volontaires des Nations Unies (VNU) mobilise près de 7000 volontaires qui travaillent dans environ 130 pays pour les programmes de paix et de développement de l'ONU. L'ONUDC bénéficie ainsi du soutien d'une douzaine de Volontaires des Nations Unies dans ses bureaux régionaux d'Afrique de l'Est, d'Asie du Sud-Est et d'Amérique Latine, entre autres. Hier, le Directeur exécutif de l'ONUDC et le Coordinateur exécutif des VNU, Richard Dictus, ont signé un Protocole d'entente entre les deux organisations visant à garantir aux Volontaires des Nations Unies la possibilité de travailler pour l'ONUDC sur le terrain.
Chaque année, le programme des Volontaires des Nations Unies (VNU) mobilise près de 7000 volontaires qui travaillent dans environ 130 pays pour les programmes de paix et de développement de l'ONU. L'ONUDC bénéficie ainsi du soutien d'une douzaine de Volontaires des Nations Unies dans ses bureaux régionaux d'Afrique de l'Est, d'Asie du Sud-Est et d'Amérique Latine, entre autres. Hier, le Directeur exécutif de l'ONUDC et le Coordinateur exécutif des VNU, Richard Dictus, ont signé un Protocole d'entente entre les deux organisations visant à garantir aux Volontaires des Nations Unies la possibilité de travailler pour l'ONUDC sur le terrain.
Belissa Guerrero Rivas est une experte des questions de genre qui travaille pour un projet de l'ONUDC au Viet Nam. En tant qu'avocate salvadorienne, spécialisée en droit humanitaire et droit des femmes, Belissa est impliquée dans le projet de l'ONUDC visant à soutenir la prise de mesures judiciaires contre la violence à l'égard des femmes, et particulièrement contre la violence conjugale au Viet Nam. Avant de devenir une Volontaire des Nations Unies, elle a travaillé à El Salvador au sein de la Commission interaméricaine des droits de l'homme. Pour elle, l'opportunité de travailler en tant que volontaire sur la question de la violence liée au genre représentait une chance de partager son expertise dans les domaines du droit pénal et du droit des femmes.
Belissa a rejoint l'ONUDC pour soutenir le développement de programmes promouvant le renforcement des mesures de prévention du crime et de justice pénale dans le domaine de la violence à l'égard des femmes. Au Viet Nam, l'Organisation travaille en collaboration avec le ministère de la Sécurité publique et le ministère de la Justice à former, promouvoir et collecter des données sur le thème de la violence conjugale. Parmi d'autres activités, plus de 800 agents de police locaux, juges, procureurs et membres de l'Union des Femmes Vietnamiennes ont été formés, et une série télévisée de 10 épisodes, « Briser le silence » a été diffusée deux fois à la télévision nationale, afin de sensibiliser la population à ce problème.
« Ce que j'aime le plus dans mon travail, c'est d'avoir la possibilité de sensibiliser la population à l'importance des droits des femmes dans une région où l'égalité des sexes fait encore défaut »a déclaré Belissa.
Clay Nayton est australien, il travaille pour l'ONUDC au Cambodge en tant qu'agent de traitement de la toxicomanie en milieu communautaire. Avant de rejoindre les Volontaires des Nations Unies, Clay a passé trois ans au sein de nombreuses ONG actives dans le domaine de la santé au Cambodge. Dans le cadre de son travail, Clay participe à l'élaboration de stratégies adaptées pour lutter contre la consommation de drogues et la toxicomanie dans les zones rurales du Cambodge, où la consommation de drogues est un problème croissant qui tend à empiéter sur d'autres problèmes de santé comme le sida.
« J'ai choisi de devenir un Volontaire des Nations Unies car je souhaitais travailler pour une agence des Nations Unies dans un domaine qui obtient des résultats prometteurs grâce à une approche relativement nouvelle dans cette région » témoigne-t-il. « Ma motivation découle des changements que j'observe dans la vie des gens. Le Cambodge est un pays qui est encore miné par la pauvreté. Cette pauvreté est une des raisons principales qui pousse les jeunes à tomber dans la drogue. Néanmoins, certaines pistes existent où les gens sont en mesure de réintégrer leurs communautés et familles. »
Depuis son lancement en 2010 au Cambodge, le programme de traitement de la toxicomanie en milieu communautaire, financé par l'ONUDC, a obtenu des résultats positifs. Il a permis de fournir aux consommateurs de drogues des traitements médicamenteux de la toxicomanie volontaires, économiques et respectueux des droits, mais aussi des services de soins dans leurs communautés d'origine.
« Ce que j'aime le plus dans mon travail, c'est le fait que je puisse m'investir dans le programme à plusieurs niveaux. Je rencontre régulièrement des membres du gouvernement et je les conseille sur les initiatives et les politiques qu'ils entreprennent. Je vais aussi sur le terrain et je collabore avec les ONG et le personnel des services de santé. J'élabore des stratégies pour créer une synergie des efforts visant à promouvoir la réduction de la demande pour les groupes de population à risque » a poursuivi Clay.
S'exprimant lors de la cérémonie de signature du protocole à Vienne, le Directeur exécutif de l'ONUDC, Yury Fedotov a déclaré : « là où nous avons la chance d'avoir ces personnes, les Volontaires des Nations Unies fournissent un appui essentiel pour aider l'ONUDC à fournir ses services dans les domaines de la santé, de la justice et de la sécurité. Ils sont très dévoués, et démontrent une motivation qui est réellement en adéquation avec les principes de promotion du développement humain durable des Nations Unies. Ils sont un grand atout pour notre organisation. »
Belissa Guerrero Rivas est une experte des questions de genre qui travaille pour un projet de l'ONUDC au Viet Nam. En tant qu'avocate salvadorienne, spécialisée en droit humanitaire et droit des femmes, Belissa est impliquée dans le projet de l'ONUDC visant à soutenir la prise de mesures judiciaires contre la violence à l'égard des femmes, et particulièrement contre la violence conjugale au Viet Nam. Avant de devenir une Volontaire des Nations Unies, elle a travaillé à El Salvador au sein de la Commission interaméricaine des droits de l'homme. Pour elle, l'opportunité de travailler en tant que volontaire sur la question de la violence liée au genre représentait une chance de partager son expertise dans les domaines du droit pénal et du droit des femmes.
Belissa a rejoint l'ONUDC pour soutenir le développement de programmes promouvant le renforcement des mesures de prévention du crime et de justice pénale dans le domaine de la violence à l'égard des femmes. Au Viet Nam, l'Organisation travaille en collaboration avec le ministère de la Sécurité publique et le ministère de la Justice à former, promouvoir et collecter des données sur le thème de la violence conjugale. Parmi d'autres activités, plus de 800 agents de police locaux, juges, procureurs et membres de l'Union des Femmes Vietnamiennes ont été formés, et une série télévisée de 10 épisodes, « Briser le silence » a été diffusée deux fois à la télévision nationale, afin de sensibiliser la population à ce problème.
« Ce que j'aime le plus dans mon travail, c'est d'avoir la possibilité de sensibiliser la population à l'importance des droits des femmes dans une région où l'égalité des sexes fait encore défaut »a déclaré Belissa.
Clay Nayton est australien, il travaille pour l'ONUDC au Cambodge en tant qu'agent de traitement de la toxicomanie en milieu communautaire. Avant de rejoindre les Volontaires des Nations Unies, Clay a passé trois ans au sein de nombreuses ONG actives dans le domaine de la santé au Cambodge. Dans le cadre de son travail, Clay participe à l'élaboration de stratégies adaptées pour lutter contre la consommation de drogues et la toxicomanie dans les zones rurales du Cambodge, où la consommation de drogues est un problème croissant qui tend à empiéter sur d'autres problèmes de santé comme le sida.
« J'ai choisi de devenir un Volontaire des Nations Unies car je souhaitais travailler pour une agence des Nations Unies dans un domaine qui obtient des résultats prometteurs grâce à une approche relativement nouvelle dans cette région » témoigne-t-il. « Ma motivation découle des changements que j'observe dans la vie des gens. Le Cambodge est un pays qui est encore miné par la pauvreté. Cette pauvreté est une des raisons principales qui pousse les jeunes à tomber dans la drogue. Néanmoins, certaines pistes existent où les gens sont en mesure de réintégrer leurs communautés et familles. »
Depuis son lancement en 2010 au Cambodge, le programme de traitement de la toxicomanie en milieu communautaire, financé par l'ONUDC, a obtenu des résultats positifs. Il a permis de fournir aux consommateurs de drogues des traitements médicamenteux de la toxicomanie volontaires, économiques et respectueux des droits, mais aussi des services de soins dans leurs communautés d'origine.
« Ce que j'aime le plus dans mon travail, c'est le fait que je puisse m'investir dans le programme à plusieurs niveaux. Je rencontre régulièrement des membres du gouvernement et je les conseille sur les initiatives et les politiques qu'ils entreprennent. Je vais aussi sur le terrain et je collabore avec les ONG et le personnel des services de santé. J'élabore des stratégies pour créer une synergie des efforts visant à promouvoir la réduction de la demande pour les groupes de population à risque » a poursuivi Clay.
S'exprimant lors de la cérémonie de signature du protocole à Vienne, le Directeur exécutif de l'ONUDC, Yury Fedotov a déclaré : « là où nous avons la chance d'avoir ces personnes, les Volontaires des Nations Unies fournissent un appui essentiel pour aider l'ONUDC à fournir ses services dans les domaines de la santé, de la justice et de la sécurité. Ils sont très dévoués, et démontrent une motivation qui est réellement en adéquation avec les principes de promotion du développement humain durable des Nations Unies. Ils sont un grand atout pour notre organisation. »