« Mon travail pour lUNICEF fut très intéressant, significatif, et important. Il ma fait comprendre que je voulais poursuivre une carrière dans ce secteur. Les souvenirs de mon travail et de ma vie en Tanzanie ne me quitteront jamais. Cette expérience ma donné un aperçu des problèmes de développement auxquels de nombreux pays, et notamment les pays africains, doivent faire face aujourdhui. »
Julie Lillejord (Norvège) est une ancienne Volontaire des Nations Unies pour le Fonds des Nations Unies pour lEnfance (UNICEF). Elle occupe actuellement le poste de Jeune expert associé en politique de légalité des sexes au Bureau de coordination des affaires humanitaires (OCHA).
De 2009 à 2011, Julie a travaillé à Dar es Salaam en Tanzanie comme Volontaire des Nations Unies, Spécialiste de la Protection de lEnfance pour lUNICEF. Sa fonction principale était de coordonner et de faciliter une étude nationale sur la violence à lencontre des enfants. Cette étude était facilitée par lUNICEF, les Centres de contrôle des maladies (CDC), et lUniversité de Muhimbili, en étroite collaboration avec le gouvernement tanzanien, et visait à traiter le problème de la violence à lencontre des enfants.
Dans le cadre de cette étude nationale, plus de 4 000 garçons et filles tanzaniens entre 13 et 24 ans ont été interviewés quant à leurs expériences dabus sexuel, physique et émotionnel. Un rapport sur cette étude, publié en 2011, indiquait quun grand nombre denfants sont victimes dabus sexuel, physique ou émotionnel avant lâge de 18 ans, abus souvent perpétrés par un membre de leur entourage dans leur communauté, à lécole, ou au foyer. Le rapport soulignait le caractère répandu, et en grande partie méconnu, du problème.
De 2009 à 2011, Julie a travaillé à Dar es Salaam en Tanzanie comme Volontaire des Nations Unies, Spécialiste de la Protection de lEnfance pour lUNICEF. Sa fonction principale était de coordonner et de faciliter une étude nationale sur la violence à lencontre des enfants. Cette étude était facilitée par lUNICEF, les Centres de contrôle des maladies (CDC), et lUniversité de Muhimbili, en étroite collaboration avec le gouvernement tanzanien, et visait à traiter le problème de la violence à lencontre des enfants.
Dans le cadre de cette étude nationale, plus de 4 000 garçons et filles tanzaniens entre 13 et 24 ans ont été interviewés quant à leurs expériences dabus sexuel, physique et émotionnel. Un rapport sur cette étude, publié en 2011, indiquait quun grand nombre denfants sont victimes dabus sexuel, physique ou émotionnel avant lâge de 18 ans, abus souvent perpétrés par un membre de leur entourage dans leur communauté, à lécole, ou au foyer. Le rapport soulignait le caractère répandu, et en grande partie méconnu, du problème.
« Mon travail pour lUNICEF fut très intéressant, significatif, et important. Il ma fait comprendre que je voulais poursuivre une carrière dans ce secteur. Les souvenirs de mon travail et de ma vie en Tanzanie ne me quitteront jamais. Cette expérience ma donné un aperçu des problèmes de développement auxquels de nombreux pays, et notamment les pays africains, doivent faire face aujourdhui. »Actuellement, Julie travaille en tant quOfficier en politique de légalité des sexes au siège dOCHA à New York. Elle fait partie de lEquipe de Mobilisation de la Problématique hommes-femmes qui est responsable de lintégration des inégalités entre les sexes dans les programmes. Le rôle de Julie est de garantir aux femmes, fillettes et jeunes filles, ainsi quaux hommes et aux garçons, un égal accès à laide humanitaire et à ses bienfaits.
-- Julie Lillejord, ancienne Volontaire des Nations Unies.