Esther Myrice Kane Awussa, Volontaire ONU affectée au à Batouri, à l’est du Cameroun. Elle travaille auprès dans le camp de réfugiés de Timangolo, et travaille avec l’ethnie des bororos.
Dans cette communauté, la place des hommes et des femmes est traditionnellement séparés et les contacts limités. Les hommes et les femmes ne se mélangent pas en public. La communauté suit les conseils du chef traditionnel, envers qui il existe toute une série de rituels.
Batouri, Cameroun: Esther Myrice Kane Awussa Volontaire ONU affectée au à Batouri, à l’est du Cameroun. Elle travaille auprès dans le camp de réfugiés de Timangolo, et travaille avec l’ethnie des bororos.
Dans cette communauté, la place des hommes et des femmes est traditionnellement séparés et les contacts limités. Les hommes et les femmes ne se mélangent pas en public. La communauté suit les conseils du chef traditionnel, envers qui il existe toute une série de rituels.
Avec d’autres Volontaires ONU, Esther mène toute une série d’activités de sensibilisation, notamment concernant les violences basées sur le genre. Le chef de la communauté était agréablement surprise par l’engagement de ces Volontaires au sein de la communauté et reconnaissait l’importance des messages délivrées.
« Après l’avoir plusieurs fois sensibilisé, il a commencé à assister aux activités de sensibilisation sur les violences basées sur le genre avec nous menons dans le site. Et un jour alors que nous étions en train de distribuer des petits appuis aux femmes après une séance de causerie éducative, le chef de la communauté est arrivé et s’est mis à distribuer les appuis aux femmes avec beaucoup de plaisir. Il a ajouté : Grâce au volontariat j’ai découvert la joie qu’un homme peut avoir à servir une femme »