“Voix Contre la Violence” au Togo est un projet de 85 000 USD financé et mis en œuvre par le programme des Volontaires des Nations Unies entre octobre 2016 et avril 2017. Le projet, basé sur un programme d’éducation non formel développé par l’Association Mondiale des Guides et des Eclaireuses et ONU Femmes, a pour but de lutter contre les violences basées sur le genre en sensibilisant les jeunes collégiens et lycéens sur les causes profondes de la violence, les moyens de prévention et les réponses à y apporter.

Les conclusions de l’étude menée par le sous-groupe de travail en matière de violence fondée sur le genre en Afrique de l’Ouest et Centrale révèlent une prévalence plus élevée de la violence sexuelle et sexiste depuis le dernier rapport produit en 2016, plus particulièrement dans les pays aux prises avec des conflits armés.

En tant que Jeune Volontaire des Nations Unies, Andrea est amenée à travailler sur différents projets, qui ont pour objectif commun de renforcer le pouvoir d’action des femmes dans tous ses aspects. Andrea peut se retrouver une semaine sur le terrain afin de superviser des formations en commerce et entrepreneuriat suivies par des membres de groupes de producteurs et, la semaine suivante, représenter son équipe programmatique lors d’une formation sur l’égalité des sexes et le changement climatique destinée aux membres du Parlement.

The issue of women’s rights is a global issue. The status of women’s rights around the world is an important indicator of global well-being. Despite many successes in empowering women, numerous issues still persist in all areas of life. For example, Sexual and Gender-Based Violence is increasing in a variety of forms in Liberia. While there may be a decrease in some instances of physical domestic violence, both physical and emotional abuse continue to occur. 

Quito, Equateur: Je suis arrivé en Equateur en février 2012 pour renforcer l’équipe Articulation Réseaux Territoriaux du Programme des Nations Unies pour le développement (ART/PNUD) sur les aspects relatifs à l’égalité des sexes et au développement humain de l’aménagement et la gestion du territoire.

Suite au tremblement de terre, la situation des femmes et des filles était particulièrement préoccupante, car elles sont davantage susceptibles de devenir victimes de violences et de discriminations dans un contexte d’urgence humanitaire.

Les données confirment l’existence d’un lien très fort entre la prise en compte des problèmes de genre, la promotion de la paix, l’engagement civique et le volontariat. C’était le thème du débat, lors d’un événement parallèle organisé le 27 octobre 2016 par le programme de Volontaires des Nations Unies (VNU), le Bureau d’appui à la consolidation de la paix (BACP) et l’Entité des Nations Unies pour l’égalité des sexes et l’autonomisation des femmes (ONU-Femmes), à la mission permanente de l’Allemagne auprès des Nations-Unies à New York.

« L’égalité pour les femmes, c’est le progrès pour toutes et tous. » Aujourd’hui, le programme des Volontaires des Nations Unies s’associe à la célébration mondiale de ce thème captivant qu’est la Journée internationale de la femme. Nous sommes conscients que le développement ne peut être ni équitable ni durable aussi longtemps que les femmes seront touchées par la pauvreté de manière disproportionnée, tant qu’elles n’auront qu’un accès moindre à l’éducation et à la santé et tant qu’elles continueront à souffrir de contraintes sociales, culturelles et politiques.