Après avoir annoncé les dix lauréats du Prix Volontariat en Ligne 2012,  le programme VNU a invité les citoyens à travers le monde à voter pour leurs lauréats préférés. Les volontaires en ligne qui ont appuyé le Bureau du PNUD Brésil à faire connaître les Dialogues sur le développement durable, également connus sous le nom de Dialogues de Rio+20, ont reçu le plus de votes. Cette initiative du gouvernement brésilien, soutenue par les Nations Unies, a créé un canal direct pour la participation de la société civile à Rio+20.

En collaboration avec le Département de l'information (DPI) du Secrétariat des Nations Unies, une équipe de trois volontaires en ligne des Nations Unies a transformé la version papier du « Calendrier des Nations Unies 2013 » en application pour iPhone. L'application « Calendrier des Journées internationales » est également le fruit d'une collaboration au sein de DPI, y compris personnel et stagiaires. Cet outil personnel de gestion des tâches vise à renforcer l'intérêt pour le travail des Nations Unies et à le soutenir. Il peut être téléchargé gratuitement sur la boutique iTunes.

Lorsque Miguel-Ángel Marín a pris sa retraite de professeur dans une université canadienne, où il a enseigné le génie informatique pendant près de 40 ans, il a dû faire face à un défi que de nombreux retraités rencontrent : trouver de nouvelles activités significatives pour remplacer son travail. « Je trouvais le temps long. Le travail du bois a été ma première occupation », se souvient Miguel-Ángel.

Anne-Marie Bekaert est devenue volontaire en ligne il y a deux ans lorsqu'elle a pris sa retraite. « Je voulais rester en contact avec mes anciens collègues de l'équipe du service Volontariat en Ligne et avec le travail qu'ils font”, déclare Anne-Marie, qui, avant sa retraite, travaillait comme chef de l’Unité de recrutement du programme des Volontaires des Nations Unies. Sa première mission a été de traduire la brochure du service Volontariat en Ligne vers le français.

Après avoir pris sa retraite, Rui de Oliveira, expert informatique portugais avec quarante ans d’expérience, s'est senti « totalement inutile et perdu ». Pire encore, des souvenirs de la guerre coloniale portugaise à laquelle Rui a été obligé de participer en tant que soldat lui sont revenus, révélant un syndrome de stress post-traumatique.

Lorsque la crise a éclaté en Libye le 16 février 2011, Estella Reed, une professionnelle du recrutement originaire de Grande-Bretagne a voulu consacrer son temps et ses connaissances à la prise de conscience de ce qui se passait dans le pays. « J’ai suivi la crise libyenne et j’ai été attristée par la souffrance que j’ai vue », dit-elle.

Le nombre de personnes affectées par des crises humanitaires a atteint un niveau sans précédent. Au cours des dix dernières années, plus de 1,5 milliard de personnes ont été victimes de catastrophes, et plus de 65 millions d’hommes, de femmes et d’enfants ont été déplacés de force à l’intérieur de leur propre pays ou ont dû chercher refuge à l’étranger. Dans le monde, une personne sur neuf se couche le ventre vide chaque soir, et une personne sur trois souffre de malnutrition.

La réunion à Bonn a fourni une occasion exceptionnelle de mettre en commun les meilleures pratiques pour soutenir le développement des capacités des jeunes professionnels handicapés et de discuter de ces pratiques. L’événement a aussi permis de déterminer les domaines de collaboration et d’échanger des idées concernant la mise en place d’environnements de travail plus inclusifs et tenant compte du handicap.

Les données confirment l’existence d’un lien très fort entre la prise en compte des problèmes de genre, la promotion de la paix, l’engagement civique et le volontariat. C’était le thème du débat, lors d’un événement parallèle organisé le 27 octobre 2016 par le programme de Volontaires des Nations Unies (VNU), le Bureau d’appui à la consolidation de la paix (BACP) et l’Entité des Nations Unies pour l’égalité des sexes et l’autonomisation des femmes (ONU-Femmes), à la mission permanente de l’Allemagne auprès des Nations-Unies à New York.

Lorsque Miguel-Ángel Marín a pris sa retraite de professeur dans une université canadienne, où il a enseigné le génie informatique pendant près de 40 ans, il a dû faire face à un défi que de nombreux retraités rencontrent : trouver de nouvelles activités significatives pour remplacer son travail. « Je trouvais le temps long. Le travail du bois a été ma première occupation », se souvient Miguel-Ángel.