Prestation de formations en matière de sécurité personnelle en Égypte

Riina Allinen est une ancienne Volontaire des Nations Unies, formatrice adjointe à la sécurité liée au genre et assistante aux opérations au Programme des Nations unies pour le développement (PNUD). Dans cet article, Riina raconte comment elle a contribué à la publication d’une brochure sur la sécurité liée au genre et à la formation des coordonnateurs pour les questions de genre au sein du système des Nations Unies. Sa mission, entièrement financée par le Gouvernement finlandais, était étroitement liée à la politique de la Finlande en matière de développement et au plan d’action national pour la mise en œuvre du programme des femmes pour la paix et la sécurité. 

J’ai rejoint le bureau régional du PNUD pour les États arabes en Égypte en tant que Jeune Volontaire des Nations Unies, formatrice adjointe en sécurité liée au genre en avril 2020. En 2021, j’ai prolongé ma mission en tant que spécialiste Volontaires des Nations unies. 

Poursuivre les consultations inclusives et participatives sur les actions climatiques au Népal

Rassu Manandhar est une Volontaire des Nations Unies nationale, spécialiste auprès du Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD) dans son pays d'origine, le Népal. Elle fait partie d'une équipe du PNUD qui appuie la population et le gouvernement dans leurs efforts visant à intégrer le changement climatique et la réduction et la gestion des risques de catastrophes dans le processus global de développement. Rassu nous fait part de ses réflexions sur la manière dont le volontariat contribue aux consultations et aux actions sur le climat.

Le climat du Népal est fortement influencé par sa topographie, qui varie fortement entre les hautes altitudes de la chaîne de montagnes de l'Himalaya au nord-ouest et les basses terres au sud-est. Les régions de plaine du Népal ont un climat subtropical chaud et humide. Sa population dépend en grande partie de moyens de subsistance sensibles au climat et à faible capacité d'adaptation, et est donc vulnérable au changement climatique.

Les Volontaires ouvrent la voie au développement vert durable du Sri Lanka

À l’occasion de la Journée mondiale de l’environnement, nous vous racontons comment les Volontaires des Nations Unies et les Volontaires V-force contribuent à l’action climatique et au relèvement du Sri Lanka. Grâce à leurs missions dans le cadre du Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD), ils ouvrent la voie à un Sri Lanka durable.

Pour célébrer le 50e anniversaire de la Conférence de Stockholm de 1972, le thème de la Journée mondiale de l’environnement de cette année, « Une seule Terre », appelle à un changement collectif et transformateur, soulignant la nécessité de vivre durablement en harmonie grâce à l’action climatique. Les ressources de notre planète étant limitées, personne n’est épargné par l’impact de la dégradation de l’environnement. Des efforts tant collectifs qu’individuels sont nécessaires pour minimiser ces effets et trouver les moyens d’un avenir durable.

Les Volontaires ONU dispensent des téléconseils sur la nutrition saine à 65 000 familles vénézuéliennes

L’initiative reposant sur le volontariat « Nourrir l'espoir, protéger les familles » dispense des téléconseils à la population vénézuélienne réfugiée et migrante au Pérou sur les bonnes pratiques alimentaires, les achats intelligents et l'accès aux services sociaux. Il s'agit d'une initiative interinstitutions du Programme alimentaire mondial (PAM), du Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD) et du programme des Volontaires des Nations Unies (VNU) au Pérou. 

On estime que plus de 1,32 des 6 millions de réfugiés et migrants vénézuéliens se trouvent au Pérou (HCR, 2021). Parmi eux, 810 000 sont dans une situation d'extrême vulnérabilité pour ce qui est de l’alimentation, de la santé et de l’accès aux opportunités de vie. En outre, 531 000 ont demandé le statut de réfugié (HCR, 2022).

Les Volontaires ONU favorisent l’égalité hommes-femmes en Amérique latine et dans les Caraïbes

Au cours des dix dernières années, le programme des Volontaires des Nations Unies (VNU) a mobilisé environ 3000 femmes Volontaires des Nations Unies dans plus de 30 pays d’Amérique latine et des Caraïbes. Elles ont été affectées à 33 entités et organismes différents du système des Nations Unies, et 76 % d’entre elles ont travaillé en tant que Volontaires spécialistes des Nations Unies.

Leur présence contribue à la stratégie d’intégration du genre du système des Nations Unies, qui intègre les expériences des femmes dans la planification, la mise en œuvre, le suivi et l’évaluation des politiques et des programmes, dans le but d’assurer l’égalité entre les hommes et les femmes.

Des Volontaires ONU déployés auprès de l’OCHA Ukraine : « un déploiement qui a fait de nous une famille »

Le Bureau régional pour l’Amérique latine et les Caraïbes du Bureau de la coordination des affaires humanitaires (OCHA) a une grande expérience de la réponse aux catastrophes de grande ampleur. À la mi-février 2022, deux Volontaires des Nations Unies faisaient partie des quatre membres du personnel du Bureau régional pour l’Amérique latine et les Caraïbes déployés en Ukraine pour favoriser la capacité d’intervention internationale rapide du bureau de pays de l’OCHA, dans un contexte de tensions croissantes. En savoir plus sur la réaction d’urgence des Volontaires des Nations Unies à la guerre en Ukraine.

Depuis 2007, plus de 95 Volontaires des Nations Unies ont été engagés au côté de l’OCHA en Amérique latine et aux Caraïbes et 30 en Europe et en Asie centrale. En Ukraine, l’OCHA a utilisé avec succès les Volontaires des Nations Unies pour intensifier sa réponse humanitaire à la COVID-19 face à l’augmentation des besoins

Les Volontaires ONU à l’avant-garde des missions de maintien de la paix

Le programme des Volontaires des Nations Unies (VNU) apporte un large éventail d’expertise aux missions de maintien de la paix en déployant des volontaires du monde entier. Les Volontaires des Nations Unies, en première ligne des missions de maintien de la paix, sont des civils, travaillant aux côtés de militaires et de policiers dont la mission est de contribuer à une paix durable. Ils partagent l’objectif commun de protéger les plus vulnérables et de soutenir les pays qui passent de la guerre à la paix.

La Mission multidimensionnelle intégrée des Nations Unies pour la stabilisation en République centrafricaine (MINUSCA), créée en septembre 2014, compte désormais plus de 305 Volontaires des Nations Unies. À l’occasion de la Journée internationale des Casques bleus des Nations Unies, nous partageons un message vidéo de M. Emmanuel K. Agawu, chef des opérations et de la gestion des ressources à la MINUSCA.

Revue thématique sur la consolidation de la paix au niveau local

Qu'est-ce que la consolidation de la paix au niveau local ? Quelles sont les approches communes de la consolidation de la paix à l'échelon local, et quels sont les facteurs qui favorisent l'efficacité des efforts de consolidation de la paix à ce niveau ? Comment le Fonds de consolidation de la paix (PBF) et les autres donateurs peuvent-ils mieux soutenir les initiatives locales de consolidation de la paix ? Pour répondre à ces questions et à d'autres interrogations connexes, le Fonds de consolidation de la paix a commandé et récemment publié une revue thématique sur la consolidation de la paix au niveau local [HYPERLINK], en partenariat avec la Fondation PeaceNexus et le programme des Volontaires des Nations Unies. 

Conformément à l'engagement visant à donner aux jeunes les moyens de mener des recherches sur le terrain et d'analyser des données, cinq jeunes chercheurs et chercheuses recrutés en tant que Volontaires des Nations Unies (UNV) ont travaillé avec un chercheur principal/chef d'équipe pour mener des recherches sur le terrain dans quatre pays où ont été menées des études de cas : le Burkina Faso, la Côte d'Ivoire, le Kirghizistan et les Balkans occidentaux (avec des UNV basés en Bosnie-Herzégovine et au Kosovo ).

Capturer le récit de ceux qui surmontent l’adversité à Haïti

Borja Lopetegui Gonzalez (Espagne) est Spécialiste des communications au sein du Programme des Nations unies pour le développement (PNUD) à Haïti. Il nous explique comment son éducation, alliée à sa vocation pour les communications sociales, l’a poussé à influencer la vie des gens de manière positive à Haïti. Sa mission est entièrement financée par le Gouvernement d’Espagne.

Grandir dans le Pays basque espagnol, une région dans laquelle le terrorisme a existé et a représenté une menace pour le bien-être de ma famille, m’a permis de développer des valeurs comme la tolérance, l’observation et des capacités d’écoute qui se sont avérées extrêmement utiles lors de mon volontariat à Haïti.