Des Volontaires de l’ONU pour l’Ukraine dispensent des services et des soins de santé

Plus de sept millions et demi d’Ukrainiens sont aujourd’hui des réfugiés, et près de sept millions de personnes sont déplacées à l’intérieur du pays. Les civils qui ont fui la guerre ont la possibilité de rejoindre le système des Nations Unies en tant que Volontaires réfugiés des Nations Unies dans les pays voisins, notamment en Hongrie et en Slovaquie. Ils sont devenus des coordinateurs, des agents de protection et des traducteurs pour les réfugiés comme eux.

Les Volontaires réfugiés des Nations Unies sont des membres à part entière de l’équipe de l’Agence des Nations Unies pour les réfugiés (HCR) en Slovaquie. Ils rendent compte à leurs collègues du HCR de la vie quotidienne, des difficultés et de la résilience des réfugiés ukrainiens.

Tetiana Korshun et Olena Bilinska, Volontaires des Nations Unies, assistantes chargées de la protection auprès du HCR en Slovaquie, sont basées à Kosice et Bratislava, respectivement. Elles aident le HCR à communiquer avec les communautés de réfugiés.

Un volontaire de l’ONU auprès de la CNUCED apporte sa contribution à la technologie de l’information pour les systèmes d’aide humanitaire

Milton Mashatise, spécialiste Volontaire des Nations Unies, travaille pour la Conférence des Nations Unies sur le commerce et le développement (CNUCED) en tant que développeur Java à distance, basé au Zimbabwe. Il apporte son appui aux systèmes de technologie de l’information pour les systèmes d’aide humanitaire. Milton croit en l’importance de redonner à la société, de développer de nouvelles compétences, d’apprendre de différentes cultures et de terminer chaque étape du projet par une célébration !

Milton a découvert la CNUCED en 2018 grâce au partenariat du programme Système douanier automatisé pour la saisie, le contrôle et la gestion (SYDONIA) avec une organisation de services fiscaux pour laquelle il était employé en Afrique du Sud. Son désir de rendre à la société ce qu’elle lui a donné, ainsi que son désir d’acquérir diverses expériences et de grandir en tant que personne - l’ont amené à choisir de servir en qualité de Volontaire des Nations Unies. 

Les Volontaires de l’ONU assurent la sécurité alimentaire des plus vulnérables au Liban et à Gaza

Ne laisser personne de côté est plus qu’une déclaration. Il s’agit d’un engagement sincère à aider les personnes les plus vulnérables dans les endroits les plus difficiles du monde, un engagement dont les volontaires font preuve quotidiennement. Dans sept États arabes par exemple, 57 Volontaires des Nations Unies apportent leur soutien à la réponse humanitaire du Programme alimentaire mondial (PAM) depuis 2020. Il s’agit de spécialistes et de jeunes, de nationaux et d’internationaux, qui contribuent au mandat du PAM dans diverses fonctions

Au Liban et à Gaza, le taux de chômage élevé, la flambée du coût de la vie et l’aide sociale limitée au niveau national ont plongé des millions de personnes dans la pauvreté.

« Les personnes handicapées peuvent tout faire ! »

Suvd Bold a grandi avec un handicap et a toujours hésité à en parler. En grandissant, son œil gauche souffrait d’une vision réduite en raison d’un développement visuel anormal appelé amblyopie (également appelé œil paresseux). On se moquait d’elle et on faisait des blagues sur son handicap. Cependant, Svud est restée déterminée à ne pas laisser ce handicap restreindre ses ambitions. Sa devise ? « Les personnes handicapées peuvent tout faire ! »

Suvd Bold est une Volontaire des Nations Unies nationale, spécialiste des affaires humanitaires au sein du bureau du Coordonnateur résident des Nations Unies en Mongolie. Sa mission de Volontaire des Nations Unies s’inscrit dans le cadre du programme de développement des talents pour les personnes handicapées du programme des Volontaires des Nations Unies (VNU), financé par la Suède

Lorsque Suvd a rejoint le programme VNU il y a huit mois, c’était un rêve devenu réalité.

Un Volontaire des Nations Unies sensibilise à la nécessité d’agir localement pour devenir global

La Journée mondiale des villes, célébrée chaque année le 31 octobre, est l’occasion de sensibiliser le public à l’urbanisation mondiale et au développement urbain durable. L’objectif de développement durable 11 correspond spécifiquement à cette journée. Le thème de cette année - Agir localement pour devenir global - souligne l’importance de l’action locale pour créer des villes plus vertes, plus équitables et plus durables. Pour célébrer cette journée, nous partageons la contribution du Volontaire des Nations Unies, Kyoreh Yoo, qui aide le gouvernement local du Sri Lanka à créer une ville amie des enfants.

Le Volontaire des Nations Unies international Kyoreh Yoo est Coordonnateur de projets à l’UNICEF. Basé à Batticaloa, Kyoreh appuie la mise en œuvre de l’Initiative de villes amies des enfants dans la province orientale du Sri Lanka. Initiative de villes amies des enfants dirigée par l’UNICEF a été lancée en 1996 pour répondre aux défis des droits de l’enfant dans un monde de plus en plus urbanisé.

« Participer aux processus menés avec les jeunes est un temps fort de ma vie », raconte un jeune Volontaire ONU national du Népal

Chaque année, le 12 août, le monde célèbre la Journée internationale de la jeunesse, dont le thème de cette année est la solidarité intergénérationnelle : créer un monde pour tous les âges - était consacré à la jeunesse et à son rôle dans l’instauration d’un changement positif dans le monde. L’une des personnes à l’origine de changements positifs au Népal est Kriti Thapa, jeune Volontaire des Nations Unies nationale auprès du Fonds des Nations unies pour l’enfance (UNICEF), qui travaille avec les jeunes pour les sensibiliser aux questions sociales. Et ce faisant, elle se concentre sur le cœur des objectifs de développement durable : ne laisser personne de côté !

Selon la répartition de la population népalaise en 2021, plus de 60 % de la population du Népal est âgée de 15 à 64 ans. Bien utilisé, cet important groupe démographique peut constituer une opportunité majeure pour favoriser la croissance du pays sur la voie du développement durable. 

Atteindre les exclus au Viet Nam et en Zambie pour sensibiliser à la COVID-19

Alors que la pandémie de COVID-19 continue de faire rage dans les pays du monde entier, causant des pertes humaines, certaines communautés - en particulier les exclus - croient encore aux mythes et aux idées fausses sur le Coronavirus comme étant une grippe traditionnelle. Pour sensibiliser au virus mortel et à l’importance de se faire vacciner, deux Volontaires des Nations Unies nationaux au Viet Nam et en Zambie poursuivent leur action auprès des groupes les plus vulnérables : les réfugiés dans les zones les plus reculées de leurs régions.

Avec une formation professionnelle en marketing et en médias, et une thèse sur la communication dans le domaine de la santé, Minh Pham, un Volontaire des Nations Unies national, est chargé de communication junior auprès de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) au Viet Nam. Au moment où la quatrième vague de la pandémie de COVID-19 a frappé le pays, la population avait besoin de beaucoup d’informations sur de nombreux sujets. Minh a été envoyé dans les zones les plus pauvres du pays pour documenter les efforts de vaccination des travailleurs médicaux de première ligne. 

Promouvoir l’éducation inclusive avec l’UNICEF au Kenya

L’un des moyens d’éradiquer la pauvreté consiste à dispenser une éducation aux plus vulnérables. C’est ce qui a incité Nahashon Njuguna à accepter une mission de Volontaire des Nations Unies national chargé de la protection sociale auprès du Fonds des Nations unies pour l’enfance (UNICEF) au Kenya.

Titulaire d’une licence en éducation spécialisée de l’Université Moi au Kenya, Nahashon apporte un soutien technique au système de transport scolaire pour les enfants handicapés (STRIDE).

STRIDE est un projet du gouvernement du comté de Mombasa, sous l’égide du département de l’éducation et des TIC, mis en œuvre avec le soutien technique de l’UNICEF.

Les Volontaires de l’ONU incarnent la coopération Sud-Sud en matière de changement climatique en Amérique latine et aux Caraïbes

Selon un rapport de l’Organisation météorologique mondiale (2021), l’Amérique latine et les Caraïbes sont la région la plus touchée par le changement climatique. Les incendies de forêt provoqués par les sécheresses, la déforestation massive et l’élévation du niveau de la mer supérieure à la moyenne dans les Caraïbes ne sont que quelques-unes des conséquences auxquelles sont confrontés les habitants de la région.

La vingt-septième Conférence des Parties (COP27) à la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques (CCNUCC) s’est tenue en Égypte du 6 au 18 novembre 2022. Il s’agit de la réunion annuelle la plus importante pour discuter de la mise en œuvre des accords internationaux, notamment le protocole de Kyoto et l’Accord de Paris. En pleine négociation, de plus en plus d’appels sont lancés en faveur d’une action urgente, d’une priorité aux personnes touchées et d’une sensibilisation accrue de la population au climat. 

Les Volontaires de l’ONU dans des espaces sûrs pour aider les femmes et les jeunes réfugiés qui se déplacent

Au cours des mois qui ont suivi le début de la guerre en Ukraine, les Volontaires des Nations Unies ont fourni aux personnes touchées des services de santé mentale, un soutien psychosocial, des premiers secours et un accès aux soins de santé. Ces Volontaires servent auprès de partenaires des Nations Unies dans des pays voisins de l’Ukraine. En Roumanie et en Moldavie, les Volontaires de l’ONU soutiennent les initiatives de création d’espace sûr du Fonds des Nations Unies pour l’enfance (UNICEF), de l’Agence des Nations Unies pour les réfugiés (HCR) et du Fonds des Nations Unies pour la population (FNUAP).

 

L’UNICEF et le HCR, en partenariat avec les gouvernements et les organisations de la société civile, ont mis en place 26 espaces sûrs, « Points bleus » pour les enfants et les femmes dans les pays limitrophes, chacun d’entre eux étant capable de porter secours à 3 000-5 000 personnes par jour. Ils se mobilisent également pour traiter les dommages mentaux et émotionnels causés par le conflit.