Q. Anita, pouvez-vous nous parler du programme auquel vous participez ?

L’initiative de la Grande muraille verte du Sahara et du Sahel est l’un des programmes les plus ambitieux pour lutter contre le changement climatique et la désertification et combattre l’insécurité alimentaire et la pauvreté sur le continent africain. Adoptée par l’Union africaine en 2007, l’initiative de la Grande muraille verte rassemble plus de 20 pays africains, ainsi que des organisations internationales, des instituts de recherche, des organisations de la société civile et communautaires. 

Lorsqu’Esi a pris ses fonctions de spécialiste du Suivi et de l’évaluation des Volontaires des Nations Unies, elle a immédiatement identifié les goulets d’étranglement de la mise en œuvre comme le principal problème des projets de la FAO dans le pays. Avant son arrivée, les projets nécessitaient, en moyenne, jusqu’à deux ou trois prolongations sans coût supplémentaires pour mener à bien les réalisations attendues. Cela dépassait le calendrier du projet, qui pouvait prendre jusqu’à deux ans.

Du 19 au 22 septembre, Mme Kyoko Yokosuka, coordonnatrice exécutive adjointe du programme VNU, sʼest rendue au Soudan du Sud pour rencontrer les partenaires et les Volontaires ONU en poste dans le pays.

En Mongolie, le secteur agricole emploie 35% de la population active, et, de façon peut-être encore plus significative, il représente 70% des emplois dans les régions rurales.  Le sous-secteur de l’élevage correspond à près de 10% des recettes d’exportations et à environ 80% de la production agricole totale. Les secteurs agricole et alimentaire représentent les meilleures chances de développer des emplois inclusifs (Ministère du travail, 2014).