Le volontariat du coeur

Je viens de Moldavie et je travaille maintenant comme Volontaire des Nations Unies pour le bureau du Haut-Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés (HCR) en Turquie. Je vis en Turquie depuis plusieurs années et j’ai eu l’occasion d’observer comment le peuple turc approche la question du volontariat. En Turquie, les gens s’entraident en permanence, de bon cœur et avec tout leur cœur.

Ankara, Turquie: La jeunesse représente la force motrice principale du nombre toujours croissant de volontaires en Turquie. Les jeunes Turcs trouvent tout à fait normal de se porter volontaires au sein d’une association, d’une organisation ou d’un club d’étudiants, et de participer à diverses activités  telles que des échanges, de l’action environnementale, du travail caritatif et des programmes d’éducation par les pairs.

Engager les jeunes dans le dialogue pour l’après-2015 au Rwanda

Les jeunes de moins de 30 ans représentent près de 65% de la population rwandaise et constitue le groupe le plus susceptible de se porter volontaire. Il est donc essentiel de veiller à ce que leur voix soit entendue lors du débat sur le programme des futurs objectifs de développement pour l’après-2015

Kigali, Rwanda: C’est en coopération avec 22 autres pays d’Afrique que One UN a tenu des consultations au Rwanda dans le but d’établir un programme national de développement pour l’après-2015 lors d’un débat ouvert et inductif. L’idée première était donc de faciliter un processus de visualisation basé sur l’expérience et les idées des peuples pour l’avenir du monde dans lequel ils souhaitent vivre.

Promouvoir l’égalité des sexes par la communication interculturelle

En dépit des progrès accomplis aux niveaux politique et juridique, la violence à l’égard des femmes persiste dans de nombreuses régions du monde. Le chemin qu’il nous reste à parcourir dans notre combat pour l’abolition des violences sexistes est encore long, et l’Equateur n’y fait pas exception. Dans ce pays, la violence conjugale est chose courante, et beaucoup de femmes souffrent de violences physiques, émotionnelles et/ou psychologiques. Pour toutes ces raisons, j’ai souhaité au cours de ma mission contribuer à sensibiliser la population sur les questions relatives aux relations hommes-femmes et aux violences faites aux femmes.

Quito, Equateur:  En dépit des progrès accomplis aux niveaux politique et juridique, la violence à l’égard des femmes persiste dans de nombreuses régions du monde. Le chemin qu’il nous reste à parcourir dans notre combat pour l’abolition des violences sexistes est encore long, et l’Equateur n’y fait pas exception.  Dans ce pays, la violence conjugale est chose courante, et beaucoup de femmes souffrent de violences physiques, émotionnelles et/ou psychologiques.

Renforcer la participation des femmes aux décisions communautaires

Bien Aimé est Volontaire de l’ONU national Spécialiste en Approche Communautaire au sein du Programme Participation Accrue des Femmes aux décisions communautaires mis en œuvre par le PNUD. Il travaille pour renforcer les capacités des femmes et des familles vulnérables de Mananjary afin qu’elles puissent connaître leurs droits civiques et économiques et en jouir. Il a ainsi aidé avec succès des membres de l’association TSY MANARI ZAZA (« Ceux qui n’abandonnent pas leurs enfants»), en offrant de l’aide en ce qui concerne des techniques de gestion, la sensibilisation relative aux bonnes conditions d’hygiène et de santé et à la gestion financière.

Mananjary, Madagascar: Au Sud-Est de Madagascar, dans  le district de Mananjary, il existe une pratique ancestrale qui consiste à abandonner les jumeaux à leur naissance. Grâce à l’intervention du système des Nations Unies (le Programme des Nations Unies pour le développement, le Fonds des Nations Unies pour l'enfance et le Programme alimentaire mondial), des plaidoyers ont pu être menés pour abolir cette tradition qui viole les droits  fondamentaux des enfants.

« Investir dans le progrès des femmes est investir dans le progrès de la communauté »

Rosilândia est une jeune fille de Cuntum, quartier de Bissau où elle est née, grandi et où elle travaille de manière volontaire pour améliorer le futur de ses voisines les plus vulnérables. Elle travaille comme formatrice volontaire pour assister à l’alphabétisation des femmes vulnérables à Cuntum. L’initiative « Appui à l‘alphabétisation des femmes et des jeunes filles vulnérables des quartiers de Cuntum et Cuntum Madina, Bissau », est un projet pilote développé par le Núcleo Nacional dos Técnicos da Intervençao Social (NUNATIS) et appuyé depuis 2013 par le projet PNUD-VNU « Renforcement des Capacités des OSCs pour l’atteinte des ODM» en Guinée-Bissau.

Bissau, Guinée-Bissau: Rosilândia est une jeune fille de Cuntum, quartier de Bissau où elle est née, grandi et où elle travaille de manière volontaire pour améliorer le futur de ses voisines les plus vulnérables. Elle est une des jeunes femmes de son quartier qui est convaincue que l’égalité pour les femmes est un progrès pour toute la communauté.

« Si j’ai beaucoup donné au volontariat, j’ai surtout beaucoup reçu de celui-ci »

En tant qu'officier des affaires civiles au sein de l’Opération des Nations Unies en Côte d’Ivoire, la tâche qui m’est assignée chaque jour est d’œuvrer à la restauration de l’autorité de l’Etat et de la cohésion sociale, à la réconciliation nationale par la gestion pacifique des conflits, ainsi qu’à la sensibilisation à la culture de la paix et à l’organisation des rencontres de dialogue intercommunautaire. En tant que Volontaire des Nations Unies, je suis fière d’avoir apporté ma modeste contribution à la restauration de la paix dans le monde et au développement à travers les missions dans lesquelles j’ai servi.

Duekoue, Côte d’Ivoire: Lorsque j’ai reçu l’offre de servir comme conseillère électorale au sein de l’Opération des Nations Unies au Burundi (ONUB)  je ne connaissais des élections que la campagne électorale et l’opération de vote, et du volontariat, je parle ici du programme, je n’avais qu’une vague idée.

Contribuer à un monde plus heureux, pour tous

Etre volontaire signifie être flexible, et vouloir mettre à disposition ses compétences et son enthousiasme pour développer de nouvelles opportunités. C’est ainsi que j’ai vécu les expériences les plus enrichissantes de ma mission, en aidant ART/PNUD et le programme VNU à organiser les consultations pour l’après-2015. Le volontariat donne l’opportunité d’aller au-delà de ses propres attentes et de contribuer à un monde plus heureux, pour tous.

Quito, Equateur: Je suis arrivé en Equateur en février 2012 pour renforcer l’équipe Articulation Réseaux Territoriaux du Programme des Nations Unies pour le développement (ART/PNUD) sur les aspects relatifs à l’égalité des sexes et au développement humain de l’aménagement et la gestion du territoire.

Soins obstétricaux d’urgence au plus fort de la crise au Soudan du Sud

En tant que médecin Volontaire de l’ONU rattaché à la clinique de niveau I de la Mission des Nations Unies au Soudan du Sud (UNMISS) à Bentiu, le Dr Simon Bagumaho doit faire face quotidiennement à des situations d’urgence qui dépassent normalement les capacités du centre médical. Dans son témoignage, le Dr Bagumaho se penche sur la façon dont son équipe médicale et lui ont relevé ces défis.

Bentiu, Soudan du Sud : De mon service en tant que Volontaire des Nations Unies auprès de la Mission des Nations Unies au Soudan du Sud (UNMISS), je me souviendrai toute ma vie de ce matin du lundi 16 décembre 2013 où je me suis réveillé au son d’armes à feu et de tirs de mortier. A un weekend tranquille avait succédé l’un des moments les plus chaotiques et effrayants de ma vie. 

Reconnaître et promouvoir le développement durable local

En tant que Jeune Volontaire ONU, analyste des questions Genre, en mission au sein du bureau du Coordinateur Résident du Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD) à Quito, en Equateur, je viens en appui-conseil au Coordonnateur Résident et à l’Equipe de Pays des Nations Unies sur le plaidoyer pour le genre, la communication et la mobilisation de ressources.

Quito, Equateur:  En tant que Jeune Volontaire ONU, analyste des questions Genre, en mission au sein du bureau du Coordonnateur Résident du Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD) à Quito, en Equateur, je viens en appui-conseil au Coordonnateur Résident et à l’Equipe de Pays des Nations Unies sur le plaidoyer pour le genre, la communication et la mobilisation de ressources.

Défendre les droits des peuples autochtones

Au cours de ma mission d’un an en Bolivie au poste de Jeune Volontaire des Nations Unies, j’étais rattachée au Groupe de Veille pour les Peuples autochtones, sous l’autorité du Haut-Commissariat des Nations Unies aux Droits de l’Homme (HCDH). J’ai approfondi mes connaissances des droits des peuples autochtones dans un pays où 42 % de la population s’identifient comme tels.

La Paz, Bolivie: Au cours de ma mission d’un an en Bolivie au poste de Jeune Volontaire des Nations Unies, j’étais rattachée au Groupe de Veille pour les Peuples autochtones, sous l’autorité du Haut-Commissariat des Nations Unies aux Droits de l’Homme (HCDH). J’ai approfondi mes connaissances des droits des peuples autochtones dans un pays où 42 % de la population s’identifient comme tels.