Les gens se réunissent dans des raves  - mais cette fois-ci, pas seulement pour danser, mais aussi pour déblayer les débris et commencer à reconstruire - le tout en suivant le rythme d’un DJ. C’est l’histoire de jeunes militants et de mélomanes qui, chaque week-end depuis l’été 2022, au sein d’un groupe appelé « Repair Together » (Réparer ensemble), se rendent à Kiev pour nettoyer les maisons et les villages endommagés ou détruits. Des DJs accompagnent cet effort, en donnant un rythme au nettoyage.

Q. Anita, pouvez-vous nous parler du programme auquel vous participez ?

Le Astana Civil Service Hub (ACSH) est une initiative phare du Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD) et du Gouvernement du Kazakhstan depuis 2013. Quelque 42 pays participent à cette plateforme d’échange de connaissances. 

L’UNICEF et le HCR, en partenariat avec les gouvernements et les organisations de la société civile, ont mis en place 26 espaces sûrs, « Points bleus » pour les enfants et les femmes dans les pays limitrophes, chacun d’entre eux étant capable de porter secours à 3 000-5 000 personnes par jour. Ils se mobilisent également pour traiter les dommages mentaux et émotionnels causés par le conflit.

L’OSDG est un produit phare du partenariat entre le PNUD IICPSD et le PPMI. Il s’agit d’un outil gratuit, open-source et convivial qui classe les textes et les publications en fonction des différents objectifs de développement durable (ODD). 

Les Volontaires réfugiés des Nations Unies sont des membres à part entière de l’équipe de l’Agence des Nations Unies pour les réfugiés (HCR) en Slovaquie. Ils rendent compte à leurs collègues du HCR de la vie quotidienne, des difficultés et de la résilience des réfugiés ukrainiens. Tetiana Korshun et Olena Bilinska, Volontaires des Nations Unies, assistantes chargées de la protection auprès du HCR en Slovaquie, sont basées à Kosice et Bratislava, respectivement. Elles aident le HCR à communiquer avec les communautés de réfugiés.

  La guerre en Ukraine a entraîné une augmentation considérable des besoins humanitaires, car les services ont été interrompus et les civils ont fui les combats. L’Organisation des Nations Unies, les organisations non gouvernementales et les organisations dirigés par des réfugiés, les fonds caritatifs et les centres de volontariat nationaux travaillent 24 heures sur 24. Cependant, plus la guerre se prolonge, plus les besoins en matière d’aide, de protection et de santé seront importants.

Depuis 2007, plus de 95 Volontaires des Nations Unies ont été engagés au côté de l’OCHA en Amérique latine et aux Caraïbes et 30 en Europe et en Asie centrale. En Ukraine, l’OCHA a utilisé avec succès les Volontaires des Nations Unies pour intensifier sa réponse humanitaire à la COVID-19 face à l’augmentation des besoins. 

J'ai choisi mon parcours professionnel en développement international lors de mes études en Corée et en Espagne. Ce qui est devenu apparent, c'est que je voulais travailler sur le terrain pour être plus proche des vies que nous cherchons à soutenir. J'ai donc commencé à chercher.

Le programme d’aide à l’Afrique de l’Union soviétique, abandonné après la dissolution de l’URSS était connu pour envoyer des professionnels talentueux à l’étranger. Quand les activités du programme se sont progressivement arrêtées, de nombreux professionnels sont rentrés chez eux rejoindre leur famille. Le Dr Teljan Jounisbekov, cependant a ressenti le besoin de continuer à apporter son aide à la population du Burundi. Il a choisi de rester dans ce pays et de vivre sa passion, une décision appréciée du ministère de la Santé qui l’a soutenue en proposant un prolongement de son contrat.